Chagall et moi

Une invitation à entrer dans l’œuvre de Chagall par des portes intimes et des imaginaires pluriels.

Qu’est-ce que le beau ? l’Art doit-il être beau ? D’où viennent mes émotions et jugements face à une oeuvre ? Comment les exprimer librement et avec créativité ?

Au cours d’une déambulation commentée dans le Musée National Marc Chagall à Nice, l’écrivain Stéphane Lambert dialogue avec des étudiants d’horizons très différents qui ont suivi le cursus de « l’Atelier du Beau ». Ils racontent leur cheminement vers l’art et leur rapport à l’œuvre de Chagall dont ils ont tiré, à l’issue de l’atelier, un « objet du Beau ». Leurs propos sont mis en écho à ceux d’Anne Dopffer, directrice du musée, de Gaïdig Lemarié, responsable de l’Atelier du beau, et de Josiane Rieu, conférencière, afin de valoriser la notion de transmission et d’éveil du regard.

 

OBJETS DU BEAU

Deux objets du beau conçus par les étudiants ont été mis en son et un poème de Chagall traverse l’ensemble de la réalisation, porté par la voix de la plupart des intervenants.

DES CAPSULES SONORES DANS LE MUSÉE

Ce projet sonore donne à la fois lieu à des « capsules » qui peuvent être écoutées selon un parcours de visite au sein du musée ainsi qu’à un podcast disponible sur les plateformes et des médias partenaires.


Des Cabanes à histoires

Installées dans l’espace public du Grand Lyon – une mairie, une gare, une école, un hôpital… – les Cabanes à histoires sont des dispositifs sonores accessibles à tous, qui racontent un objet des collections du musée des Confluences.

DES BULLES NARRATIVES DANS LA VILLE

Imaginés autour d’objets emblématiques des collections du musée : un squelette de baleine, une coiffe amazonienne kayapó, une ammonite irisée ou encore une armure de samouraï, de courts récits de 6 à 8 minutes sont diffusés au sein des cabanes, illustrés de paysages sonores originaux complétées par des fonds documentaires, des enregistrements de chasseurs de son, des extraits de musique ou de chants, ainsi que par le patrimoine sonore collecté lors de missions de terrain du musée.

Grâce au son immersif, chaque histoire nous invite à un voyage au plus près de sons de la terre et de la nature, tout en nous interrogeant sur de grands enjeux d’aujourd’hui.

Le projet des Cabanes à histoires est une enseigne du musée des Confluences dans l’espace public autant qu’une invitation à venir au musée.

Les liens sacrés qui unissent les Inuits et les baleines, les fantasmes les plus divers sur les origines des ammonites, l’art de la plume chez les kayapó, ou encore l’histoire d’un samouraï en chemin pour la capitale Edo…  sont autant d’occasions de véhiculer l’image du musée comme de ses marqueurs – les notions d’accessibilité, de narration, d’imaginaire.


Le ciel est bleu : Podcasts sur Magritte pour le Musée de l’Orangerie

Une série de 6 podcasts, pour comprendre la « période solaire » de René Magritte

À l’occasion de l’exposition Renoir/Magritte : Le surréalisme en plein soleil, au musée d’Orsay et de l’Orangerie en 2021, narrative a produit une série sonore pour mieux comprendre cette partie méconnue du surréaliste.

Ces podcasts, à travers une narration originale et l’utilisation de précieuses archives sonores, dressent plusieurs portraits de l’artiste, pour comprendre ses inspirations et ses tourments. En écoutant, sa voix et celle de ses amis, cette série propose de partir à la découverte d’un Magritte méconnu, s’inspirant du peintre populaire Pierre-Auguste Renoir, concevant un surréalisme nouveau.

# Épisode 1 : Magritte et la guerre
# Épisode 2 : Magritte et le Kitsch
# Épisode 3 : Magritte, la philosophie et la littérature
# Épisode 4 : Quand Magritte sape la figure de « l’artiste de génie »
# Épisode 5 : Magritte et les artistes postmodernes – La « Belgitude ».
# Épisode 6 : Magritte et les artistes post-modernes

« Je veux réaliser des tableaux où le beau côté de la vie serait le domaine que j’exploiterais. J’entends par là tout l’attirail traditionnel des choses charmantes. Les femmes, les fleurs, les oiseaux, les arbres, l’atmosphère de bonheur… etc. »

Lettre de René Magritte à Paul Éluard, le 4 décembre 1940