Sri Lanka, les fantômes de la guerre


Un film documentaire sur la plus terrible des guerres civiles du XXIe siècle.

C’est l’histoire d’une île de toute beauté, enfermée dans ses secrets et ses dénis : le Sri Lanka. Au cœur de l’ancienne zone de combats, s’ouvre la mémoire de la guerre civile, l’une des plus terribles et des moins connues de l’histoire contemporaine. Une journaliste qui a vécu le conflit revient sur ces lieux hantés par le souvenir des massacres.

Sept ans après les faits, les survivants sortent du silence. Dans une quête en forme de road-movie, le film nous amène à la rencontre d’un peuple et de ses blessures. Suivant l’ancienne route de l’exode à travers la jungle, la journaliste emprunte les pas d’un mécanisme implacable, jusqu’au décor du piège final : la plage paradisiaque de Mullivaikkal, où plus de 300 000 civils encerclés se retrouvèrent sous la furie des bombes, au printemps 2009. Pour les témoins et les survivants de la guerre, rouvrir la mémoire de l’interdit n’est pas sans prix.

Sri Lanka, les fantômes de la guerre entremêlent la vidéo, des scènes d’animation et des images d’archives.

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Telerama : Tea Time Club

Capture d’écran 2015-12-18 à 16.12.23Souriez, c’est l’heure du thé ! Ce jeudi soir, et tous les jeudis de juillet sur France 4, Caroline Gillet ouvre les portes de la première émission de télé réalisée via Skype. Un rendez-vous intime où les langues se délient pour discuter librement de la foi, de l’amour ou encore de l’amitié. Bienvenue au club !

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Télérama : “Stainsbeaupays”, c’est une belle histoire

Capture d’écran 2016-06-10 à 15.54.45Le projet de Stainsbeaupays a vu le jour en novembre 2012, lorsque Eliott Lepers et Simon Bouisson, deux jeunes réalisateurs à peine plus âgés qu’eux, déboulent au collège pour y mener un « atelier numérique » soutenu par l’association Cinéma 93 et la professeur de lettres des 3e3, Joanna Lerena-Larcher. Deux après-midi par mois, la classe visionne des films, apprend à filmer, à enregistrer le son et s’exprimer devant la caméra. Ils travaillent aussi sur les thématiques qui seront au cœur du webdoc.

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l’Humanité écrit « Tea Time Club : échange et partage d’ailleurs »

Capture d’écran 2015-12-18 à 16.12.23Tea Time Club, la nouvelle série documentaire de France 4, est avant tout, un cocktail d’expériences propres qui se croisent. Aimer, croire, être ami et grandir sont des thèmes qui parlent à tous et que Caroline Gillet, lauréate du TV Lab 2015, propose de visiter en quatre épisodes, un moment de partage pour échanger sur les grandes problématiques de l’intime.

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l’express – « Photo de classe, le webdoc contre le racisme parrainé par Thuram »

Capture d’écran 2015-12-18 à 16.12.23 Un documentaire multimedia sur la diversité à l’école. Une expérience unique.
L’aventure a duré toute une année. Au sein de l’école Gustave Rouanet du 18e arrondissement de Paris, une institutrice de CE2 fait travailler ses élèves sur leurs origines et l’histoire de leur famille. Les enfants enquêtent auprès de leurs parents, récoltent des objets, débattent entre eux. A l’arrivée, des discussions sans préjugés et parfois drôles.

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« Ce n’est pas une classe mais une famille » – Bondy Blog à propos de Stainsbeaupays.

Capture d’écran 2015-12-18 à 16.12.23 Stainsbeaupays c’est l’histoire d’une classe, les 3,3, qui pendant une année ont filmé, monté, écrit, joué dans un web-documentaire désormais en ligne dans son intégralité. Hana a assisté à la soirée de lancement, à Stains (93).
Vingt collégiens âgés de 14 ans se sont lancés dans l’aventure d’un web-documentaire. Les vedettes de ce projet sont : Ptissem, Mariam, Yacine, Ludwing, Chris, Ilies, Maeva et bien d’autres qui étaient présents dans la salle. L’expérience a duré une année. Une année pendant laquelle les réalisateurs se sont imprégnés de Stains en côtoyant au quotidien ces collégiens. Pour faire ce web-documentaire, les « 3.3 » ont fait référence à leurs vies, leurs rêves, leurs inspirations… La drague, l’image négative que Stains et plus généralement une ville de Seine-Saint-Denis peut renvoyer, ont été des thèmes de prédilection. Ce web documentaire est avant tout une aventure humaine et une démarche citoyenne.

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Gaza, des versions de la vie

Lors de son voyage à Gaza pour sa série radiophonique Underground Democracy, Aurélie Charon a rencontré une jeunesse inventive qui trouve solution à tout, et chaque solution est le début d’une nouvelle fiction. De là est né un projet intitulé « Gaza, des versions de la vie » : une invitation à entrer dans la vie quotidienne et les rêves de quatre jeunes Gazaouis.

Les workshops

Nous avons imaginé la possibilité d’organiser, en amont de la réalisation du film, des ateliers avec de jeunes auteurs à l’Institut français de Gaza animés par trois intervenants dont Aurélie Charon. Ces ateliers ont permis en même temps d’effectuer un repérage pour le film et une expérience plus complète, où les personnages deviennent auteurs de leur histoire.

La websérie

L’aboutissement de ces workshops est une websérie en deux volets composée à la fois de portraits réalisés par Aurélie Charon et d’autoportraits réalisés par les jeunes Gazaouis.

Le film documentaire

Le film propose une opportunité de partager avec des jeunes Gazaouis leur vie réelle et leur vie rêvée, offrant ainsi une vision alternative de la jeunesse Palestinienne, bien trop souvent associée à des images de conflits, marquant une rupture du cliché et du carcan militant. Les personnages décrivent leur quotidien puis imaginent la façon dont ils aimeraient le modifier : leur version de la vie idéale. Ils sont complices pour réaliser des situations simples, mais qui n’existent pas à cause d’interdits : chanter, faire un concert, ou encore s’aimer entre ici et là.

« Dans aucun pays du monde, je n’ai vu un peuple aussi fantasque. Pas d’électricité : ils imagineront une installation insensée dans le salon avec des batteries de voiture pour que la télévision marche pendant les coupures. Pas de pétrole : ils couperont l’essence des voitures avec de l’huile végétale, quitte à ce que les rues sentent l’odeur de friture. Pas d’eau : ils se doucheront à l’eau de mer, salée. Manque de voiture : des ânes partout dans les rues les remplaceront. Gaza est submergée par la guerre et le blocus. Je ne veux pas contourner ce réel ou l’ignorer, mais filmer le quotidien que les Gazaouis se sont inventé pour dépasser la réalité, et petit à petit entrer dans le rêve de chacun : à l’intérieur de leur version de la vie rêvée.

Le « ton » du projet ressemble à leur vie, qui dans le quotidien mêle souvent l’humour à la tragédie. Gaza, c’est aussi le port et les pêcheurs, le soleil méditerranéen sur la plage, les petits commerces, l’Université, quelques cafés… Sans idéaliser le lieu, l’image se déplace des clichés, ne montre pas que la misère, mais plutôt la force et le potentiel des gens. Je les incite à filmer eux-aussi des images de leur quotidien : comme on entre dans la tête des personnages, l’univers mental pourra se construire par le collage de nos images, de celles prises par leurs téléphones quand ils ont filmé un moment important chez eux quand nous n’étions pas là, pour entrer dans l’intime. On filme les textos et les emails qu’ils s’envoient avant de se retrouver. Tout est à vue, leur vie est sur écoute pendant le tournage. »

– Aurélie Charon

La diffusion

Les workshops auront lieu entre février et mars 2017, pour une diffusion de la websérie en juin 2017. Le film documentaire entrera alors en développement.


Le Blog Documentaire – Irvin Anneix, le créateur numérique qui murmure à l’oreille des ados (mais pas que…)

Capture d’écran 2016-06-10 à 15.54.45Mots d’ados, la nouvelle production web de Narrative, a été publiée le 14 mai dernier. Ce projet réalisé par Irvin Anneix se plonge dans les écrits adolescents pour tenter d’entendre et de comprendre cette jeunesse. Portrait d’un (jeune) auteur web qui pousse un peu plus à chaque projet sa démarche participative.

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« ÇA TOURNE ! » – La ligue de l’enseignement à propos de L’amour à la plage.

Capture d’écran 2015-12-18 à 16.12.23La colonie qui a pour thématique « web reporter » a été choisie par la société de production « Narrative » pour réaliser un reportage sur les pré-ados (enfants entre 9 et 14 ans) et l’amour. Dédiée aux nouveaux médias et basée à Paris, cette société a pour but de créer des œuvres documentaires multimédias. Dans une volonté d’échanges et de partage de savoirs autour des techniques de tournages et d’interviews, les petits vacanciers vivent une belle expérience. Les enfants cadrent, filment, découvrent la prise de son et la mise en valeur de l’image par la luminosité. Ils se prennent avec plaisir au jeu de la caméra auprès de la société Narrative qui a intitulée son documentaire : « L’amour à la plage.

 


Prévert Exquis

Une série d’ultra-courts collages.

Une expérience transmédia de Jacques Prévert, 40 ans après sa mort (avril 1977) imaginée par Isabelle Fougère dans une dynamique de surprises et de formats partageables, avec l’énergie joyeuse et engagée de l’artiste multimédia avant l’heure. 

« Je souhaite ramener du Prévert à notre époque, partager son énergie combattante et bienveillante, jamais blasée, en particulier avec les plus jeunes et ceux de la vie de tous les jours, qui parlent comme il parlait, lui qui a offert au langage populaire ses plus belles répliques. Je vais ouvrir la malle aux trésors, sortir les textes, les sons, les vidéos, les collages, les images, en choisir des pépites, les associer au hasard, les mélanger, les proposer et les mettre en scène.

Je veux offrir à Prévert d’investir les médias contemporains pour pousser ses coups de gueule ou ses traits d’humour : donner à entendre, lire et voir Prévert qui nous parle d’aujourd’hui avec ses mots d’hier; découvrir combien il inspire toujours les artistes contemporains; goûter à ses jeux avec les mots pour ré-enchanter la vie. »

Et faire vivre la poésie.

Isabelle Fougère, auteure et réalisatrice