L’esprit des lieux à l’Abbaye de Pontigny, en Bourgogne

Découvrez avec les oreilles ce que les yeux ne peuvent plus voir

C’est en 1114 que Hugues de Mâcon fonde l’Abbaye de Pontigny, en Bourgogne. Sœur de Cîteaux, Pontigny va devenir un haut lieu spirituel et politique du royaume et l’un des chefs d’œuvre de l’art cistercien. Aujourd’hui propriété de la Fondation SAS La Terre, le domaine, ouvert au public depuis septembre 2024, est désormais dédié à l’art de la terre et aux cisterciens.

Pour faire (re)vivre l’exceptionnelle abbatiale de Pontigny et remonter le temps jusqu’à sa création au 12e siècle, narrative a produit parcours sonore immersif, véritable film pour les oreilles en son spatialisé où avec toutes  les figures historiques de l’abbaye, moines, artisans, reine, archevêque anglais, intellectuels…

Grâce au son spatialisé et un scénario original interprété par des comédiens et des musiciens, les visiteurs vivent au rythme des soubresauts de neuf siècles d’histoire du lieu : la construction, du quotidien des moines, des guerres de religion, des décades. Une expérience immersive et sensible conçue pour tous, à partir de 12 ans… L’histoire vous attend !Comme le souhaitaient les Cisterciens, seule la lumière vient habiller les murs blancs la plus vaste abbatiale cistercienne d’Europe. Le voyage temporel en son binaural que nous avons créé fait à nouveau résonner les hautes voutes gothiques : la voix de l’esprit des lieux guide le visiteur, ainsi que celle d’Hugues de Mâcon, Saint Bernard, Paul Desjardins, des artisans, des moines.

Ce parcours émotionnel et scientifique permet à chacun de ressentir toute la charge historique de Pontigny.

EXTRAIT DU PARCOURS

« Levons la tête. La pierre de Pontigny nous raconte l’histoire de la construction de l’église…. De bas en haut, d’un pilier à l’autre, les pierres parlent à qui veut les entendre…

Chaque voûte de Pontigny a son acoustique.
Celles de la nef, au-dessus de vous culminent à 20 m.
Elles sont plus hautes que celles du transept
La forme des voûtes aussi est différente…. Pourquoi?
Ici, dans cette architecture mise à nue, rien n’est superflu… Alors pourquoi? Remontons le temps pour comprendre…

A Pontigny, on peut remarquer le passage de l’art roman à l’art gothique. Je vais vous le raconter. »

 

 


Les Collections ont leur bande-son au musée du Quai Branly

Design sonore de l’ensemble du plateau des collections permanentes du musée.

Mise en œuvre du projet « Musée Résonnant », conçu par Eric de Visscher avec l’artiste Thomas Tilly, qui a pour ambition de proposer une nouvelle offre de visite à travers la sonorisation globale du musée.

La démarche du “Musée Résonnant” du Musée du Quai Branly consiste à affirmer que les sons (qu’il s’agisse de musique, de voix, de sons environnementaux) contribuent à un enrichissement de l’expérience de visite. Ils complètent – sans s’y opposer – les éléments présentés au regard qui, de ce fait, ne s’imposent plus comme l’unique point d’accès aux œuvres muséales.

Pour ce faire, cette présence sonore est pensée comme un ensemble, allant de sources discrètes et localisées à des situations immersives, en passant par des “surprises”, assurant tantôt une présence continue, tantôt agissant par intermittence, sans jamais obstruer d’autres perceptions sensorielles.

Collecte des sons, design sonore, préconisation des dispositifs de diffusion, mixage in situ, négociation et gestion des droits.

Inauguration le 16 Septembre 2024.

 


L’esprit des lieux, l’air du temps

Pour la RMN Grand Palais, nous avons produit  « L’Écho du Grand Palais » une fiction sonore 3D spatialisée conçue pour être écoutée au casque, qui invite à un voyage immersif à travers les siècles, depuis l’inauguration du Grand Palais en 1900 jusqu’à sa restauration actuelle.

Nous avons imaginé un média « hors du temps » animé par deux journalistes, Camille et Félix, pour faire entendre les échos de l’exposition universelle de 1900, des salons de l’automobile ou encore de la première exposition des œuvres de Picasso en 1967.

Une sélection d’archives d’époque est interprétée par les comédiens qui s’approprient les formes journalistiques du moment pour faire revivre les temps forts de l’histoire du monument.

Épisode 1 : Travaux et premiers galops

Ce premier épisode transporte à la fin du XIXe siècle, en plein cœur des travaux titanesques qui ont donné naissance au Grand Palais. De la pose de la première pierre en 1898 à son inauguration lors de l’exposition universelle de 1900, Camille et Félix partent dans une exploration captivante des défis techniques et architecturaux de l’époque.

Épisode 2 : Traumatismes et découvertes

Ce second épisode plonge dans des époques tourmentées où conflits et découvertes scientifiques se côtoient. Le Grand Palais se transforme en
témoin silencieux des drames, accueillant un hôpital militaire durant la Première Guerre mondiale, puis devenant le théâtre des batailles de la Libération. C’est également l’époque de l’inauguration du Palais de la Découverte et l’introduction de la science dans le monument.

Épisode 3 : Robot mixeur et Art convivial

Camille et Félix entraînent au cœur des années 1960, modernité et innovations sont les maîtres- mots au Grand Palais, qui accueille des salons en tous genres, avant de se transformer sous l’influence d’André Malraux en un temple des arts et de

la culture.
De jeunes visiteurs partagent leurs impressions en découvrant la première exposition temporaire hors d’un musée des œuvres de Picasso.

Épisode 4 : Le miroir du siècle

L’exposition intitulée « Le miroir du siècle » accueillie au Grand Palais en 1990 devait refléter les grandes évolutions du design à travers les siècles, elle
a surtout révélé la restauration nécessaire de la grande Nef et de ses fondations !

Camille et Félix font revivre en direct un incident inattendu qui entraînera la fermeture du Grand Palais pour une restauration vitale…

Épisode 5 : Retour aux sources et envolées futures

Des œuvres monumentales d’artistes contemporains aux défilés de mode, jusqu’au Tour de France, cet épisode explore les événements majeurs qui ont marqué la vie du Grand Palais. Il annonce aussi la fermeture du monument pour des travaux massifs afin de le sécuriser et lui rendre sa magnificence d’origine. Les spectateurs des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 ont déjà pu admirer la splendeur de sa Nef restaurée.

 


Saison 8 de Cher Futur Moi à Reims, invité par la Comédie

A l’invitation du Centre Dramatique National de Reims, Irvin Anneix s’est installé en Champagne au premier semestre 2024 pour réaliser la huitième saison de Cher Futur Moi, avec la collaboration de l’équipe de la Comédie de Reims.

La série Cher Futur Moi, qui raconte l’adolescence  « vue de l’intérieur » rassemble aujourd’hui 145 épisodes, tournés par des adolescents francophones du monde entier, de Pointe-à-Pitre à Bamako, et Choisy le Roi.

L’installation vidéo conçue avec la scénographe Marion Flament a déjà été coproduite avec la MC-93 (Maison de La Culture de Seine-Saint-Denis) en 2019. Depuis cinq ans, elle itinère partout en France à la Maison des Métallos (mai 2021), à la Biennale de la danse de Lyon (juin 2021), à MA scène nationale, Montbéliard (2022), au Théâtre de Choisy le Roi.


Hauteville House, un podcast sur Victor Hugo en exil

Écoutez  Victor Hugo chez lui à Guernesey

Pénétrez dans la maison de famille de l’écrivain, Victor Hugo, au 38 rue Hauteville à Saint-Pierre-Port de Guernesey où il est resté 14 ans en exil.

Banni de France par Napoléon III, Victor Hugo s’est exilé sur l’île anglo-normande de Guernesey où il a vécu en famille et a écrit ses plus grands chefs-d’œuvre, dont Les travailleurs de la mer (1866) et Les Misérables (1862). Il s’est aussi découvert une passion pour la décoration, chinant dans les brocantes de l’île pour faire de sa demeure une œuvre autobiographique, remplie de messages politiques et personnels. L’exil, «c’est la vie», a-t-il gravé au-dessus de la porte de la salle à manger.

Hauteville House est aujourd’hui la propriété de Paris-Musées et est pratiquement restée intacte. Quand on la visite, on a la sensation d’y rencontrer le grand homme.

Ce podcast en 6 épisodes de fiction sonore immersive (son binaural) est écrit par Marion Augustin (scénario original basé sur des archives) et met en scène un jeune poète Léo Tybil qui souhaite ardemment percer les secrets d’écriture des Misérables. Julie Chesnay, la belle-sœur de l’écrivain et gardienne de la maison après son retour à Paris lui fait visiter la demeure. C’est elle qui raconte l’intimité des Hugo à Léo Tybil.

D’une certaine manière cette maison est à son image comme le dit Charles Baudelaire dans une lettre à l’écrivain en 1859 : « On me dit que vous habitez une demeure haute, et qui ressemble à votre esprit, et que vous vous sentez heureux dans le fracas du vent et de l’eau. Vous ne serez jamais aussi heureux que vous êtes grand.»

 LE MAKING-OFF DE HAUTEVILLE HOUSE

L’ÉQUIPE DE PRODUCTION

Depuis 2016, narrative développe des parcours et podcasts en son binaural pour révéler le patrimoine invisible de lieux singuliers (du Château de Vaux-le-Vicomte au musée de la Marine, ou à l’Abbaye aux Dames à Saintes). En avant-première à Longueurs d’Onde, l’équipe de narrative racontera HAUTEVILLE HOUSE, un podcast immersif en 6 épisodes produits pour Paris-Musées.

Marion Augustin est écrivaine et scénariste. Elle a développé une collaboration régulière aux projets sonores de narrative : elle est autrice et réalisatrice de Hauteville House.

Laurence Bagot est productrice au sein de la société narrative et développe des parcours et podcasts en son binaural afin de révéler l’histoire invisible de lieux d’exception (musées, châteaux, abbayes).

Léa Chevrier est cheffe opératrice son spécialisée. Depuis 2016, elle a assuré la direction sonore de vingt projets produits par narrative, dont Hauteville House.

Les bruitages ont été réalisés par Éléonore Mallo.

Simon Cacheux a assuré le mixage en son binaural.


UN ORCHESTRE À SOI

Une installation sonore documentaire et collaborative pour faire revivre les compositrices oubliées

par Léa Chevrier et Laureline Amanieux

Connaissez-vous le point commun entre Hildegard Von Bingen, Francesca Caccini et Sophie Gail ?

Ce sont des compositrices effacées de l’histoire de la musique, alors qu’elles étaient des stars à l’égal de Mozart ou Bach à leur époque !

« Un orchestre à soi » est une installation à la fois musicale et documentaire qui propose de faire découvrir au grand public le matrimoine musical tout en racontant l’invisibilisation des compositrices et leur redécouverte.

L’installation propose une expérience sensible : une œuvre sonore spatialisée à travers des pupitres vibrants formant un orchestre imaginaire. Cette œuvre originale intègre les chants de plus d’une trentaine de compositrices occidentales du Moyen-âge au début du XXe siècle, interprétés par des professionnels et des amateurs (y compris les visiteurs).

Il est également diffusé au sein de l’installation Un Orchestre à Soi une série documentaire réalisée par Laureline Amanieux qui interroge l’invisibilisation des compositrices dans l’Histoire et retrace le parcours de 8 d’entre elles, du Moyen âge au début du XXe siècle : Hildegard Von Bingen, Francesca Caccini, Elisabeth Jacquet de la Guerre, Hélène de Montgeroult, Sophie Gail, Louise Farrenc, Alma Mahler et Ethel Smyth.

La websérie Un Orchestre à Soi est  également diffusée en ligne sur les réseaux de France Télévisions, la plateforme Art Explora (https://academy.artexplora.org/), puis à l’antenne sur France 3 Normandie.

 

 

 

 


Les voyages de Pétrarque

Un podcast écrit par Nelly Labère, réalisé par Julia Griner et Ariane Neumann, produit à  l’occasion de l’exposition « L’invention de la Renaissance, l’Humaniste et  le Prince, l’Artiste » à la Bibliothèque Nationale de France.

Pétrarque, écrivain et poète Italien du 14e siècle, est né au sous le signe du voyage.

Voyage dans l’Europe à la recherche de manuscrits anciens, voyage immobile et solitaire dans sa bibliothèque de Fontaine-de-Vaucluse, voyage à Rome, sur les traces d’une Antiquité perdue, rêverie poétique et amoureuse sur les bords de la Sorgue, ou randonnée initiatique au sommet du Mont Ventoux…

Épisode 1 – Le voyage humaniste

Dès le 14e siècle, Pétrarque invente un nouveau modèle de culture qui s’appuie sur un rassemblement sans précédent du patrimoine littéraire, intellectuel et artistique de l’Antiquité. Annonçant la Renaissance à venir, ce voyageur infatigable constitue autour de lui un formidable réseau culturel, et se lance à la chasse aux manuscrits antiques dans les villes d’Europe afin de retrouver, copier et traduire des textes majeurs tombés dans l’oubli.

Épisode 2 – Le voyage immobile

Pour se ressourcer de sa vie publique intense, Pétrarque achète un petit domaine à Fontaine-de-Vaucluse. Si la nature est une source de méditation, les livres de sa bibliothèque lui permettent de voyager tout en s’affranchissant des contraintes physiques. Les livres rassemblés par Pétrarque annoncent un nouveau modèle de bibliothèque qui se diffusera au cours du 15e siècle, manifestation éclatante de l’esprit et de la civilisation de la Renaissance.

Épisode 3 – Le Voyage dans le temps

Pétrarque nous invite à visiter Rome, sa ville adorée, où le passé glorieux de l’Antiquité s’est figé dans les ruines de l’Histoire. En ressuscitant les auteurs, la mythologie et les héros du passé, Pétrarque nous fait voyager dans un monde oublié. Sur les ruines antiques, il construit un renouveau : ce que l’histoire appellera la renaissance. C’est aussi à Rome, sur le Capitole, qu’il reçoit la couronne de laurier des poètes.

Épisode 4 – Le voyage à travers les livres

Pétrarque, cet « étranger partout » comme il aime à se définir, place son existence sous le signe de l’errance. Pour lui, l’homme vertueux est celui qui voyage. Alors que les réécritures du Moyen Âge font d’Ulysse un homme rusé, le texte antique en fait un voyageur philosophe, auquel il aime à s’identifier. Pétrarque voyage à travers les livres et les mots, mêlant subtilement ses lectures érudites à ses propres souvenirs, qu’ils soient réels ou imaginaires.

Épisode 5 – Le voyage amoureux

Avec Laure, Pétrarque s’embarque dans un grand voyage amoureux qui est d’abord et toujours un voyage mental. Laure est sa muse et son inspiratrice, une figure idéalisée de l’amour toujours impossible. Elle est un sommet inatteignable, un espace sacré. C’est en hommage à Laure que Pétrarque compose le Canzoniere, célèbre recueil poétique, ou il voyage en esprit vers l’être aimé, dans l’espace et dans le temps de la mémoire.

Épisode 6 – Le voyage intérieur (le mont Ventoux)

À travers son récit de l’ascension du Mont Ventoux, Pétrarque nous plonge peu à peu vers les régions intimes de sa conscience. Au fur et à mesure de son élévation, le récit se charge d’un sens plus profond, et se transforme en une réflexion sur le sens de la vie, et sur les notions de voyage extérieur / voyage intérieur. Et pour cause, Pétrarque a emporté avec lui le livre des Confessions de Saint Augustin, dont il ne se sépare jamais.


Un parcours sonore immersif au Musée de la Marine

Embarquez pour une expérience maritime et poétique

Partez à la découverte du Musée national de la Marine en compagnie du capitaine Mayard pour un périple d’une heure en 13 escales. Un parcours surprenant où la mer elle-même est la narratrice, interprétée par Christiane Cohendy qui nous guide contre vents et marées, dans la tempête comme sur une mer d’huile.

Bonjour,
Cela fait longtemps que je vous attends.
Depuis quelque temps, j’ai besoin de me confier… L’âge sans doute.

Les scientifiques affirment que moi, la mer, j’ai 4,4 milliards d’années.
Inimaginable, n’est-ce-pas ? Beaucoup de souvenirs peuplent ma mémoire.
Sur mes flots, j’ai été le témoin de tant d’aventures humaines. J’aimerais vous en conter certaines dont ce musée est le gardien…

Grâce au son spatialisé et un scénario original de Marion Augustin, vous pénétrez à l’intérieur des tableaux, des maquettes, des reproductions, vous plongez dans l’univers des travailleurs de la mer, des galères de Louis XIV, du commandant Cousteau…

Le son est spatialisé et enrichi de bruitages et de sons additionnels, il dessine un paysage imaginaire.

Chaque visiteur est équipé d’un casque et d’un compagnon de visite prêté par le musée. Il peut aussi écouter le parcours à partir d’une webapp sur son smartphone.

L’ÉQUIPAGE DE PRODUCTION

Marion Augustin a écrit le scénario original, à partir de documents scientifiques et d’archives. Les objets et les œuvres prennent vie dans nos oreilles et nous racontent la relation mouvementée entre la mer et les humains.

La mer est incarnée par la voix de Christiane Cohendy. Daniel Kenigsberg sera votre Capitaine de navigation. Jean-Christophe Frèche, Giovanni Arnoux, Margaux Marsollier ainsi que Nassim Faranpour ont interprété les rôles de marins, sauveteurs, pécheurs…

Léa Chevrier a dirigé la production sonore, tant lors du tournage, que du montage.

Les bruitages ont été réalisés par Éléonore Mallo.


Une fiction sonore pour le Théâtre Mogador

Trois ans après une première collaboration (Opération Slow Rev, une pièce de théâtre en son 3D de Thomas Baumgartner), le Théâtre Mogador commande à narrative une nouvelle fiction sur les coulisses de la comédie musicale, avec l’autrice réalisatrice Anne-Claire Jaulin.

La série fiction Call Back plonge l’auditeur.rice dans le monde de la comédie musicale. Disponible gratuitement sur toutes les plateformes (Apple Podcast, Spotify, Deezer, Youtube, etc.).

Vous suivrez les aventures de Violette, qui ne désire qu’une chose : décrocher un rôle dans l’une des plus grandes comédies musicales de Paris. Elle a quitté Cognac et sa Charente natale pour intégrer l’école du Cours Florent. Une fois son diplôme en poche, elle s’est donné un an pour obtenir un rôle. L’année s’est écoulée, et Violette n’a toujours rien décroché. Cet après-midi, elle se rend au casting de la dernière chance, le dernier avant de devoir s’avouer son échec.

Violette réussira-t-elle à décrocher un rôle, ou devra-t-elle se résoudre à faire comme on le dit autour d’elle un « vrai métier » ?

4 épisodes
Durée totale : 35 minutes 

Épisode 1 : Prioriser 
Ça fait un an tout pile que Violette se démène pour décrocher un rôle. Aujourd’hui, elle court dans la rue vers ce casting de la dernière chance. Pas le choix, il faut que ça marche !

Épisode 2 : Répéter
Les conseils de Kora ont payé. Violette a envoyé une vidéo, un peu tournée à l’arrache c’est vrai, mais a tout de même décroché le casting. Cette fois, elle est en avance, s’est préparée, a bien répété. Tout est sous contrôle, ou presque…

Épisode 3 : Se faire confiance
Nézir, le directeur de casting, l’a rappelée : elle est en call back ! Enfin d’abord, il veut la coacher. Violette n’est pas sûre d’avoir tout compris, on verra bien ce que ça signifie.

Épisode 4 : Lâcher prise
Alors que Violette est rentrée passer Noël chez sa mère, elle se morfond dans sa chambre d’enfant : aucune nouvelle du Théâtre  Mogador. Par dépit, elle passe un autre casting qui n’a (presque) rien à voir avec la choucroute.


Des Escapades sonores au Cap-Ferret

L’Office du Tourisme de Lège-Cap-Ferret a cœur de faire découvrir le territoire de la Presqu’île en mettant en relation ceux qui y vivent, et ceux qui y viennent pour les vacances.

Dans ces escapades sonores, on se promène avec des habitants qui nous racontent les paysages et leur interprétation :

Denise Descot, 90 ans, institutrice dans le village pendant 36 ans, nous fait visiter le Lège de sa jeunesse : de l’ancien chemin de fer à la salle de bal « Chez Patate » où elle s’est mariée, en passant par le bistrot du village, « chez Emma » devenu aujourd’hui La Poste.

Patrick Ducasse, fils d’ostréiculteurs, nous emmène à la découverte du village de l’Herbe en partant de la fameuse chapelle Sainte-Marie-du-Cap, vestige de la villa algérienne de Léon Lesca. Il revient sur l’émergence progressive d’un village ostréicole typique (la taille et la disposition des cabanes, l’art de vivre au bord du bassin, l’histoire des lieux).

Fabien Argelas, surfeur invétéré, nous fait découvrir une de ses plages préférées. Accessible seulement à pied en traversant la forêt de pins et les dunes caractéristiques du paysage de la côte océanique, la plage de la Vache morte se « mérite ».

Patrick Glotin, réalisateur amoureux du Cap Ferret, arpente avec nous le Mimbeau à marée basse, lorsque l’eau s’est retirée et décèle un territoire occupé par les oiseaux et riche des débris naturels déposés au gré des flots. Il porte un regard singulier sur le paysage qui l’entoure, et nous rappelle que la beauté se trouve aussi dans le rapport que l’homme entretient avec son environnement.  

Annie Labarrère est née à Piraillan, dans une maison sur le port caractéristique de ce village. Elle connaît le port ostréicole comme sa poche, elle y a travaillé toute sa vie. Elle nous raconte les pratiques traditionnelles d’hier et d’aujourd’hui et nous fait visiter le village.

Ces documentaires sonores de 10 minutes environ peuvent être écoutés sur le site de l’Office du tourisme avant, pendant ou après la visite réelle des lieux, et permettent de donner envie et d’enrichir l’expérience des visiteurs.